Voici un petit roman méchant, à moins qu’il ne soit une fable cruelle, d’un jeune journaliste brillant, à moins qu’il ne soit doué, sur un type qui n’a pas de nom, à moins qu’on ne l’ait même pas reconnu, qui a de la chance d’avoir un boulot, à moins que ce ne soit une humiliation et qui finit par être écrasé, à moins que ce ne soit une rampe de lancement vers la liberté. Bref, un petit roman social qui fait mal.
La Chance que tu as, de Denis Michelis, aux Editions Stock, collection La forêt. Déjà en librairie.